Abricot-Sponge

Leeloo à l'abricot

Vendredi 29 janvier 2010 à 23:24

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Beaucoup de personnes, disons une masse d’individus sont confinés dans leur confort, conscients des problèmes qui les entourent mais sont trop lobotomisés, stressés et égoïstes pour y prêter attention, leurs propres soucis, créés par eux-mêmes étant le centre de leurs préoccupations.

Posons-nous alors une minute et accordons-y un peu de temps.

Je ne suis pas très religion alors je m’en vais écrire ceci comme je le conçois.

Dieu.
Dieu est arrivé, de nulle part. Il a créé l’homme et la femme à son image ; deux êtres parfaits, Adam, et Eve. Parfaits car ils n’avaient pas encore le choix de décision de ce qu’ils voulaient être ; seulement, Dieu les laissa libres de céder à la tentation. Et là, les êtres imparfaits furent. Je vois plus le truc dans le genre d’un être parfait comme dans le Cinquième Elément, mais bon, continuons.

Êtres imparfaits que l’on retrouve aujourd’hui, car absolument tout, dans cette société est fait pour que chaque individu ne pense plus par lui-même mais par la télé, la presse et tout autre forme de lobotomie moderne.

Chaque acte est calculé, pour que l’être humain soit dirigé, inconsciemment, de telle ou telle manière tel du bétail qu’on engraisse pour qu’il termine à l’abattoir ou alors en expérience sur les farines animales et les organismes génétiquement modifiés.

L’être humain est simplement une souris de laboratoire que d’autres observent et analysent. Tout est classé, numéroté, catalogué. Carte d’identité, numéro de sécurité sociale, carte bancaire ; sans parler d’Internet.

Lorsque l’on regarde, nous sommes quoi ? Nous sommes simplement un numéro, il nous manque juste les code-barres.

Les sociétés américaines ont déjà mis au point des implants pour pister la vie de chacun. Mais où est donc passé le respect de la vie privée ? Avec l’avancement des technologies, c’était plus que prévisible. Les hommes étaient censés être parfaits, mais la société a fait que chaque comportement humain amène à la destruction et à l’abrutissement de chacun.

Comment ?

Un exemple simple : La cigarette, et l’alcool dans un premier temps. Tout le monde le sait, la cigarette, c’est nocif pour la santé et ça tue ; c’est d’ailleurs écrit en gros sur les paquets. Mais voilà, même si tout le monde le sait, non, on créera des usines pour fabriquer à la chaîne ces paquets de cigarettes, les gens achèteront quand même leur paquet de clopes, tout en sachant déjà qu’ils mourront d’un cancer du poumon. Pour l’alcool c’est exactement la même chose. Il abrutit le cerveau et créé une dépendance. Le gouvernement se fait un bénéfice énorme grâce aux taxes, peu leur importe la destruction de l’Homme, vu que tout est bénéfice et pouvoir et que l’homme n’est que du bétail. Pourtant ici, la vente de la mort est légale.

Dans un deuxième temps, la télévision.

La télévision est contrôlée, une poubelle de désinformation et de lobotomie remplie d’images et de messages subliminaux dans différentes émissions nous poussant à croire que rien ne pourra changer, que le mal est omniprésent mais que malgré tout, on s’y habituera. Plus envie d’épiloguer sur ce sujet ; cela dit, j’aime quand même m’abrutir en restant devant ma télé, parfois ne pas réfléchir ça détend.

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Cerveau-lent

Vendredi 29 janvier 2010 à 23:31

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Le silence ; sans doute mon meilleur ami.

J’aime parfois me perdre dans mon propre silence. Penser, penser, penser, encore et encore. Puis, poser les mots, seulement au moment où ils souhaitent s’extraire de mon encéphale. Ce que je fais en ce moment même d’ailleurs.

Parfois, dans certaines situations, on crie bien plus fort en restant silencieux.

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Cerveau-lent

Vendredi 29 janvier 2010 à 23:35

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J’avoue, je ne suis pas en accord avec la médecine, surtout en France.

Quand je vois qu’il y a une quinzaine d’années, en Allemagne, il existait déjà des pistes de marche et autres types d’examens et d’opérations alors qu’en France, les pistes de marche étaient seulement destinées pour nos amis les chevaux ! C’est sûr un cheval qui marche est bien plus important qu’une fille qui ne marchera pas toute sa vie si elle ne passe pas ces examens.

J’estime que la France au niveau médical, psychologique et autres types de médecine est très en retard si on la compare à d’autres pays. Pourquoi je parle de cela ? Juste parce qu’en étant handicapée on passe un temps fou dans les hôpitaux… Peut-être est-ce pour ça que j’ai autant de mal avec les blouses blanches.

Sincèrement, je rêve que mon médecin ait une canne et prenne de la vicodine (cf. House) ; il aurait au moins la franchise de me dire que je vais crever, sans tourner cent cinquante ans autour du pot ou sans utiliser de langage d’étudiant en médecine, charabia incompréhensible pour nous, pauvres petits cerveaux inexploités.

Publié par abricot-sponge

Cerveau-lent

Vendredi 29 janvier 2010 à 23:41

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Il faut prendre la vie et la mort comme un jeu. Un peu comme dans Saw, où les gens sont testés.

On peut obtenir ce qu’on veut, peut importe les moyens. Il faut être égoïste. Marre de vivre toujours pour les autres, il faut penser à soi. La vie est courte.

Une personne X naît ; tout est rose, l’attention est là, l’amour et la sensation de bulle éphémère mais forte qui vous protège des monstres sous votre lit agit encore.

A l’adolescence c’est la criiiise ! On teste parfois ses capacités à jouer avec la mort, se dire que souffrir et voir du sang couler vous rend plus heureux. On remet tous ses choix en question, préférence fille/garçon, avec l’option « fidélité, abus, putes hors-la-loi et pseudo gothiques, tout ça sur un air de première fois à la Tryo » et on fait des rencontres superbes, qui changeront nos vies. Un concept de frère et sœur siamois, à qui on donnerai sa vie, même parfois à les avoir au creux de la peau, sans aucune encre. Même si enfin, on sort peu à peu du cliché, tout semble parfait sous tous les angles, on y croit à nouveau de par une autre rencontre puis, la souffrance nous revient en pleine face. Cette souffrance, engendre cette culpabilité, comme à l’époque, la sensation chaude et glacée à la fois et la douceur brûlante et traître de la douleur et de la honte. On a tué la vie. Peu à peu on met ça dans un coin de son crâne. On y repense, souvent et par moment même, on oublie et on tente toujours de chercher le bonheur. On se plante. Encore. Puis, ça change. Les projets et la certitude sont de retour ! Enfin ! On y croyait plus ! On est émerveillé, mais très vite berné par les avantages offerts. La claustrophobie revient et le désir de liberté est toujours présent. Alors le bon vieux jeu des choix revient et la tentation arrive également. Des discussions se créent, ou pas. On vit, on joue, testant à chaque minute jusqu’où ça ira. L’impulsivité de l’adolescence n’est pas loin.

La vie est un jeu.
La mort aussi.

Que la partie commence !
 

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Cerveau-lent

Vendredi 29 janvier 2010 à 23:55

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http://abricot-sponge.cowblog.fr/images/19849273.gif [Vangelis - La petite fille de la mer] http://abricot-sponge.cowblog.fr/images/19849273.gif

Depuis un certain moment déjà, je me suis toujours créé dans ma tête et de par mes écrits, un univers, melting-pot des bisounours à tendance féérique et mystique à la fois, dont j’ai envie de parler ce soir, pour m’évader un peu et me retrouver en tête à tête avec moi-même et les deux ou trois autres personnalités qui peuplent mon encéphale.

La mélodie de Vangelis pourrait y laisser entre apercevoir le contenu.

Je pense souvent avoir un cœur trop grand et une tête trop étroite pour y laisser entrer toutes les poussières d’étoiles qui s’y retrouvent au fil des âges, dans un laps de temps plus ou moins long, ou court. Mon cœur se situe plus dans un ciel étoilé et ma raison est sur fond d’une glauque et triste réalité.

Comment vous dire ?
J’accorde énormément d’affection dès la première rencontre avec n’importe quel type de personne et j’ai souvent des coups de cœur.

C’est un assez grand paradoxe sachant que, également, dans certaines situations amicales ou amoureuses, je me lasse très vite mais je pleure à chaque rupture de contact. J’accorde pas mal d’importance aux petits détails, qui font que le courant passe bien, mais les gens se lassent également. Trop bonne, trop conne, ne pensez-vous pas ? C’est ce que le premier qui passe penserait…

En réalité cela signifie que personne ne mérite réellement ce qu’on lui offre, car il ne vous donnera que la moitié en retour, voire même le quart. Mais que faire quand la lassitude prend place alors que tout semblait si bien se dérouler ? Vouloir quelque chose de neuf, l’envie de découvrir de nouveaux horizons… Cela paraît impossible aujourd’hui.

Vous parler d’amour, comme on en parle dans les contes pour enfants, actualisé un peu en enlevant la grosse robe meringuée de mariée avec toutes les franfreluches d’usage.

Envie de silence, juste observer longuement et sentir les yeux d’un Prince qui feront que sous votre corps de souillon se cache en réalité une princesse. Rire et ne profiter que de cet instant où tout semble être arrêté. Rougir sous un compliment, sentir la chaleur humaine, différente de la nôtre. Des petites attentions, qui font sourire. Être une femme, une femme heureuse.

"Les idées en place,
La tête en l’air,
J’observe l’espace,
Le cœur à lenvers
Y’a du monde là-haut,
Regarde comme c’est beau
Il ne manque plus que toi et ton sourire, dans mon vaisseau…"
Tryo

Il m’arrive souvent de me comparer à -comme je l’ai dit en tout début de cet écrit- Alice, dans son pays des Merveilles.

Je vis dans un monde que peu de gens arrivent à cerner. Rêveries et dilemmes se côtoient et on y rencontre des protagonistes assez hors du commun, tel la Schizophrénie, la Télépathie et l’Egoïsme rient des fugues de la Conscience et de son amie la Morale.

Mon impulsivité et mon insouciance me trahissent souvent et, les vœux, passés ou futurs sont en contradiction perpétuelle. La peur est également et quotidiennement à mes côtés ; la peur de la découverte et surtout une grande peur de déception.

"Mam’selle Bulle, avait un rêve un peu spécial,
Pour une bulle, quitter la Terre c’est peu banal…"
Tryo et les Ogres de Barback

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Cerveau-lent

Samedi 30 janvier 2010 à 0:02

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http://abricot-sponge.cowblog.fr/images/19849273.gif [Julien Doré - Piano Lys] http://abricot-sponge.cowblog.fr/images/19849273.gif

Derrière la beauté et le charme peuvent se cacher l'immondice et la déception.

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Cerveau-lent

Samedi 30 janvier 2010 à 0:15

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http://abricot-sponge.cowblog.fr/images/19849273.gif [Mademoiselle K - Pas des carrés] http://abricot-sponge.cowblog.fr/images/19849273.gif

Cette sensation de légèreté, quand plus rien ne compte et que vous ne vous concentrez que sur l'instant présent, sans détacher vos yeux de ceux de la personne face à vous... Mes yeux me trahissent sans doute un peu trop par moment ; mais lorsque je croise une autre paire d'yeux qui me fixe de la même manière en me serrant contre le reste du corps où elle se situe, ma respiration se coupe, ma tête se brouille et mon coeur s'arrête de battre ; la montée est si vertigineuse, si parfaite, si fragile. Télépathie occulaire. A peine le temps d'une étreinte que déjà la descente se transforme en véritable enfer psychotique... Ces yeux, que je n'ai cessé de regarder se sont dorénavant pixelisés sur mon écran mais agissent comme des milliers de fines lames qui transpercent chaque micro-particule de mon corps, me suffoquant à nouveau en m'arrachant les tripes. Une impression de tourner un nouvel opus de Saw. Survivre.

C'est pas des carrés...

J't'ai manqué ? Parce que, toi tu m'as manqué. T'es un vrai tyran, tu sais. C'est tellement dur de te faire la gueule ! Mais... j't'en veux quand même. Te fais pas d'illusion. J'voudrais qu'on parle, en oubliant le jeu. Rien qu'une fois.

Et là, ça était le pire. Plus rien, plus rien pendant dix ans, plus rien pendant trois mille six cent cinquante-deux jours et trois mille six cent cinquante-trois nuits. Fini le jeu, les jeux, le piment de mon existence. J'ai erré dans ma vie comme quand on erre dans une tragédie de Racine. Hermione version mec. Où suis-je ? Qu'ai-je fait ? Que dois-je faire encore ? Quel transport me saisit ? Quel chagrin me dévore ? Ah ne puis-je savoir si j'aime ou si je hais. Sophie m'a assassiné. Trucidé. Egorgé. Baisé. Enculé. Et tant d'autres rimes tarées. Et puis j'ai fini par y penser à l'imparfait. Me résoudre au bonheur fade de ma naissance. L'amour, la famille, le boulot, l'antenne parabolique. Du Racine j'vous dis.

Jeux d'enfants
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Cerveau-lent

Dimanche 18 avril 2010 à 20:54

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La vie.
L'amour, qui la rend plus jolie.
En un regard, je m'éveille le sourire aux lèvres.

Le bonheur se résume donc à ça ?
"Ca", qui est tant de choses en fin de compte...
J'ai comme une envie d'hurler à pleins poumons que je suis heureuse.

Je ne suis pas ici pour dire : "Tiens, je vais écrire ceci ou cela dans l'espoir que ça plaise aux gens qui passe ici."
En tout cas, à moi, ça me plaît ; même si ça fait nuages roses collants genre barbe à papa.
'Men fous !! >.<"

La carte, carte du coeur.
Jeu de carte ou carte routière.
Tant de chemins, de directions, d'indécisions, de contradictions et de possibilités à exploiter.

Les erreurs, et les désaccords du coeur et de la raison. C'est souvent ainsi.
Mais la raison et le coeur ne peuvent-ils donc pas être en harmonie ?
On dit bien "qui ne tente rien n'a rien".

Chaque bouts de vie rappelle un souvenir.
Une personne, une époque, une phrase, une date.

Certains souvenirs sont plus difficiles à estomper que d'autres...
Alors parfois, on s'attarde sur certains, alors qu'on sait pertinemment qu'y songer nous fera plus de mal que de bien.
Mais est-ce nécessaire aussi pour mûrir ? Aussi néfaste que ce soit pour l'esprit ?
Comment faire pour surmonter la déception et pour oublier ou y penser sans que ça fasse mal ?

On cherche du réconfort ailleurs ou bien on se complaît dans une vie anti-sociale, mais vite on se rend compte que la solitude n'est parfois pas la bonne solution. Alors, on se réfugie dans les bras d'une personne, avec qui on créera de nouveaux souvenirs, de nouveaux objectifs et projets qui nous feront avancer. Comme une renaissance. Mais le souvenir plane quand même au-dessus de notre tête.

Je m'égare. Mais il me montre le chemin à suivre. Et heureusement.
Je l'aime.
Plus que ma vie.
 
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Cerveau-lent

Mardi 3 août 2010 à 16:12

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J'ai quitté la vie pourrie consistant à me prendre diverses choses dans le crâne, de la solitude et des mensonges.

J'ai enfin quitté tout ça pour me retrouver face à l'Amour, le vrai, le simple, le positif, celui qui laisse entrevoir un rayon de soleil au travers des larmes qui coulent encore parfois.

Cet Amour, cet homme, le mien.
Si parfait en toutes circonstances ; cette stablilité mentale, ce bien-être et cette sérénité, tous enveloppés dans une bulle si solidement créée.
Tout ceci grâce à lui. Ces petits riens, qui font tout et bien plus encore. Petites choses paraissant insignifiantes qui font pourtant tant de bien.

Sa main dans la mienne, les battements de son coeur ; le savoir plein de vie et aussi heureux que je le suis quand nous sommes ensemble.
Son regard, dans lequel je pourrai me perdre des années et des millénaires entiers ; sa voix, ses mots, si réconfortants et d'une sincérité exceptionnelle. Son amour, sans aucune faille ; ses bras, qui, quand ils m'enlassent me font perdre toute notion de temps et d'espace.

Il n'y a que nous.
Plus qu'une seule personne réunie dans deux coeurs et deux âmes qui fusionnent et vacillent dans un monde où nous seuls avons accès.
Tout ceci se déclenchant en un regard, un baiser, un frôlement, une parole, une pensée.

Il est mon unique, ma vie, mon espoir, ma motivation et ma détermination, mon idéal, mon rêve, mon conte de fées, ma réalité, mon tout.

C'est tellement magnifique que cela paraît presque irréel. Pourtant, je suis belle et bien vivante, sans avoir à me pincer pour me sortir de cette douce hallucination infinie.

Publié par abricot-sponge

Cerveau-lent

Mardi 3 août 2010 à 16:19

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La naïveté est un démon du passé que le temps et la maturité ont terrassé.

Publié par abricot-sponge

Cerveau-lent

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