Abricot-Sponge

Leeloo à l'abricot

Dimanche 20 février 2011 à 18:12

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Autoportrait 2006.

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Je m'apaise et m'envole par les douces mélodies de Yann Tiersen. Pourquoi ai-je donc oublié mon piano à la maison ?
  C'est beau, et ça me fait mal pourtant ; me rappelant le temps où lui, mon petit frère de coeur, et moi même on jouait ensemble tout son répertoire musical. Le temps est passé et depuis cet été il m'a oubliée, en crachant sur nos huit ans de vie.

Voilà que je pleure maintenant.
Décidément, ce sera vraiment un weekend de merde ; j'aurai fait que ça pendant trois jours.

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Capricieusement-Moi

Dimanche 20 février 2011 à 19:35

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Capricieusement-Moi

Samedi 5 mars 2011 à 19:42

 Il fait froid maintenant. Hâte qu'il rentre pour le serrer fort contre moi.
Envie d'oublier les rêves qui m'ont pourri ma nuit.
J'veux juste être avec lui, c'est tout.



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Capricieusement-Moi

Samedi 19 mars 2011 à 11:36

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Auto-portrait.

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Ma présentation en début de ce blog date un peu je m'en vais donc faire une autre présentation ici et aujourd'hui même mais tout en conservant l'ancienne. Vous dire des choses, précises ou abstraites, je ne sais pas, mais je me lance dans cette "superbe" présentation matinale.

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  Ici je m'appelle Leeloo. Mais en réalité je m'appelle Emmanuelle.
J'ai quelques surnoms suivant les ami(e)s ou la famille parmi lesquels on trouve Manu(e) ou Emma pour la famille, Link, Linky, Leeloo ou Manu et, plus rare, Gabrielle ou Mamie pour les ami(e)s. On m'a toujours appelée par mes diminutifs, jamais par mon prénom complet, excepté ma mère quand je faisais des bêtises, les professeurs en classe ou bien le patron où j'ai travaillé ; sinon, c'était toujours Manu ou Emma (qui est plus rare celui là, mais j'aime assez). Link & Linky, ceux là, sont restés depuis fin collège-début lycée, et persiste encore selon certaines connaissances. J'y tiens, car ils me rappellent des souvenirs, plus ou moins joyeux ou mauvais et des personnes, qui ne sont plus présentes, et d'autres, qui sont revenues vers moi, mais ça reste toujours des moments du passé et je ne tiens surtout pas à oublier mon passé, quel qu'il ai été. Leeloo est aussi à la fois mon passé et mon présent. Il n'est pas si vieux que ça, et, à la base, il m'a été donné par une personne, que je ne voie plus maintenant, à cause de ma coloration capillaire de l'époque qui était orange vif. Depuis ce surnom s'est imprimé dans les esprits de pas mal de mes ami(e)s et je ne m'en porte pas plus mal, c'est un grand honneur pour moi de porter le même nom que Milla Jovovich dans le film Le Cinquième Élément *-* j'ai également oublié de vous parler de mon surnom servant de watermark sur mes photos, il s'agit de Manöödle. C'est tout simplement la contraction de Manu et Noodle, qui signifie nouille en anglais. Pourquoi ? Parce que lors de mon voyage de trois jours à Amsterdam il y a quelques années, j'ai passé tout mon séjour à parler anglais et à manger les fameuses noodles. Abricot-Sponge, qui est la base de la construction de mon monde ici présent, me rassemble moi, Abricot, et mon Namoureux, Sponge, dérivé de Bob l'Éponge, surnom que je lui ai donné au début de notre relation. Gabrielle & Mamie sont seulement utilisés par deux personnes parmi mes amis, le premier en rapport avec Gabrielle Solis dans Desperates Housewifes (mon amie, elle, est surnommée Bree) et Mamie, étant le fait que lorsque je vivais chez mes parents, j'étais la plus âgée de tous les petits cons présents dans la résidence. Voilà pour l'explication de "comment on peut m'appeler". Le premier qui m'appelle Emmanuelle, cela dit, je lui arrache la tête.

Je suis née le vingt-deux janvier mille neuf cent quatre vingt-huit à Reims, dans la Marne.
J'ai eu, dès ma naissance, un petit problème de parcours, qui me coûte de faire de la rééducation à vie et de marcher avec une démarche constante de personne en état d'ébriété et de manger le sol un peu trop souvent. Mais je marche alors le reste je m'en fous. Niveau caractère, je ne suis pas facile, je suis vraiment très rancunière par moments, très susceptible et il m'arrive très souvent de pleurer pour rien. Autrement dit, j'ai un caractère de merde comme le dit si bien mon Namoureux, je suis pourtant très sociable, j'aime autant parler de manière sérieuse avec toutes sortes de personnes et je peux également dire de la merde, comme quand on est ivre mais j'ai la faculté de dire des conneries surtout en étant sobre, et ça c'est cool. J'ai une taille, un poids et une pointure qui me désolent, un mètre cinquante-quatre, même pas cinquante-cinq, voire soixante, je suis trop dégoûtée u__u" quand au reste, vous ne le saurez point. Je suis une fille -femme, faut que je m'y fasse- avec des yeux noisettes et des cheveux normalement châtains mais je change fréquemment de couleur de cheveux ; ils sont passés par blond foiré, blond réussi, rouge, orange, roux, noir, noir bleuté, bleu électrique, vert moisi dû au dégorgement du bleu, violet, rose et rose pisseux dû au dégorgement aussi. J'ai aussi eu la nuque rasée, j'aimais trop, mes parents beaucoup moins, et des atébas que j'ai conservé, même si elles ne sont plus sur ma tête. Quand j'étais enfant jusqu'à il y a quelques années, je ne voulais pas être une fille, alors je coupais les cheveux des barbies et je jouais aux billes, aux pogs, aux petites voitures et à la bagarre avec mon frère ; je ne mettais jamais de jupes, de robes ou de pantalons moulants et je gardais toujours mes petits petons dans des baskets ou des grosses chaussure de skate jamais lacées. Mais depuis peu je suis adepte des bottes (mais sans talons ou presque pas), des jupes/robes, des pantalons slim ou assez moulants, du maquillage et autres soins de la peau et du corps et des ongles pas rongés.

J'ai un chat, un cochon d'inde, des poissons et des plantes carnivores.
J'aime lire, si je pouvais je ne ferai que ça, j'adore écrire aussi, et passer mon temps à rêvasser toute seule sur des questions sans réponses. J'aime le fait de ne pas avoir grandi sur certains points, je peux m'extasier devant un lézard et le fixer pendant deux heures sans bouger, j'aime quand je croise une coccinelle, je compte même ses points pour dire l'âge qu'elle a. J'aime faire des gribouillis car je n'ai pas la prétention de dire que je sais dessiner, car non, en effet, je ne sais pas dessiner. Je suis aussi bien à l'aise avec de la compagnie, ou sans (mais mon Namoureux je ne peux pas m'en passer.), j'aime rester allongée et penser, pour moi-même. Je suis une grande fan du minou Hello Kitty. J'aime rester informée de ce qu'il se passe dans le monde, alors, sans pour autant regarder les informations, je lis le journal et j'aime la musique, de n'importe quel style, sauf le rap, très peu pour moi.

Et sinon ?
Bah..

Je l'aime http://abricot-sponge.cowblog.fr/images/t25742577145773.gif

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Capricieusement-Moi

Mercredi 6 avril 2011 à 15:59

Quoi qu'on en dise, je n'aime pas tellement le mois d'avril.
Pour moi, c'est le mois de mauvais souvenirs.


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Que la brise les emporte, à jamais.
 

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Capricieusement-Moi

Jeudi 14 avril 2011 à 15:47

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Capricieusement-Moi

Vendredi 17 juin 2011 à 13:10

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Capricieusement-Moi

Lundi 15 août 2011 à 17:36

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http://abricot-sponge.cowblog.fr/images/19849273.gif [Beethoven - Sonate au clair de lune] http://abricot-sponge.cowblog.fr/images/19849273.gif


Toi, le menteur,
Toi, le manipulateur,
Toi, l'hypocrite,


VA TE FAIRE FOUTRE.

Quinze août.
Un an que mon chtit frère de cœur ne m'adresse plus la parole ; je n'ai toujours pas compris ses motivations, même un an plus tard. Je pensais ne plus rien éprouver, ni compassion, ni remords, ni haine, ni amour ou amitié. Mais ça fait mal quand même, un petit peu. Je serai toujours sidérée par l'hypocrisie de certains. Avec le temps, ma haine envers sa trahison s'est transformée en une magnifique méprise d'un tel gâchis. Mais je sais que forcément, tous les ans à cette date, j'y repenserais malgré moi, même si au final, je vis beaucoup mieux sans lui, sans ses sermons incroyables sur "Comment gérer ma propre vie en appliquant des conseils que lui même ne sait pas appliquer" et sans cette ignoble façon de procéder qui consiste à dire les choses me concernant sans passer directement par moi ; ça, franchement, j'adore ! Pas vous ? Ça me dépasse tout ça... Ces mots réconfortants après un affreux cauchemar, ces aller-retours pour qu'on passe du temps ensemble au moment où tout se passait encore bien. Puis arrivèrent ensuite toutes les phrases malsaines prononcées, les misérables textos reçus uniquement pour me dire de la merde, son silence pesant quand je me suis plantée en bagnole sans même prendre de mes nouvelles, ses "explications" bidons sur le pourquoi du comment, ses appels uniquement par intérêt.

Oui, j'avoue, toute cette merde est encore encré dans ma mémoire. Même si au fond de moi je sais que c'est mieux ainsi.
Je m'en veux d'avoir été si naïve. En même temps, qui pouvait s'attendre à ce que huit ans d'amitié s'envolent comme ça, au moment où on s'y attend le moins ? Pas moi en tout cas. Je n'ai rien vu, rien pré-senti, kedal. Mon Namoureux m'avait prévenue, lui l'avait senti, lui le savait ; mais pas moi. Ça m'est tombé dessus comme ça, BAM ! Un grand coup dans la gueule et la tête qui fait trois tours sur elle-même ; L'Exorciste, mais dans la vraie vie, et là, je vous assure que ça choque vraiment.

Le vingt-neuf juillet, c'était son anniversaire ; j'y ai pensé, très fort, tout au long de la journée. Mais je ne vais pas être assez conne pour envoyer un texto ou appeler. Fini de revenir en rampant. Mon amitié et mon estime de lui, il ne l'aura plus, plus jamais. J'espère qu'il se décompose lentement dans la poubelle de mon cerveau, là où je jette tout ce qui m'a déçue et qui n'en vaut pas la peine.

Il a tout perdu avec moi. Et moi, j'ai tout gagné.
Oui, car je ne vis plus dans l'illusion à présent.

Toi, le menteur,
Toi, le manipulateur,
Toi, l'hypocrite,


VA TE FAIRE FOUTRE.
 

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Capricieusement-Moi

Jeudi 18 août 2011 à 15:47

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Capricieusement-Moi

Vendredi 26 août 2011 à 15:07

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Me réveiller.
Fumer une clope avec *Lui et un bisou avant qu'il parte travailler.
*Il s'en va.
Petit-déjeuner et vitamine C.
Vaisselle du petit-dej' et hop sous la douche.
Penser à *Lui et me dire que je veux continuer à lui plaire.
Tenter de ressembler à une femme, plus qu'à un fantôme finalement.
Continuité des tâches ménagères : mettre un peu d'ordre sur le lit, replier et ranger les vêtements.
Les heures passent et défilent et *Il est toujours dans ma tête.
Un coup d'oeil aux serpents.
Coup de téléphone de Mimie ; ça fait du bien, un dialogue. Parler de moi, parler de *Lui. Fin de la communication.
Nourrir la boulette de poils numéro une et la boulette de poils numéro deux.
Boire mon café à onze heures.
Me connecter à MSN, voir le message de ma mère d'hier soir, tenter une réponse, un peu tardive et attendre un échange, mais rien.
Penser à faire à manger et me battre avec les mouches.
Penser à *Lui, encore.
Lui envoyer un message et lui dire que je l'aime et ce que je pense.
Attendre sa réponse qui ne viendra pas pour le moment.
Manger - Ranger - Fumer.
Écrire ici ce que je pense de mes livres.
Attendre encore en vain une réponse.
Penser à *Lui à ce que j'ai écrit, aux conséquences positives que ça aura peut-être, ou pas.
Lutter contre le coup de barre.
Poser les mots en vrac.
Penser à *Lui et m'enfuir, au fond d'un livre.

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